Lampe en cristal de sel : Dépolluant atmosphérique

par 8 Sep, 2017Jusaoo - articles

L’action des lampes en cristal de sel peut être qualifiée de dépolluant atmosphérique, et cet article va vous sensibiliser, je l’espère, à la nécessité de cette dépollution pour assainir votre milieu ambiant.

Sans que nous en soyons véritablement conscients, nous respirons en effet en permanence, dans notre maison, un air pollué par toutes sortes de minuscules particules d’origine organique et minérale.

Dans la première catégorie il y a les acariens, les bactéries, les spores de moisissures, les poils et déjections d’animaux …

Dans la deuxième, il y a les produits propulsés par les aérosols et les sprays des produits d’entretien mais aussi les débris de fibres et de matériaux, les émanations des produits de combustion …

Les allergologues appellent cela la « poussière de maison » et observent que la plupart des allergies sont provoquées par cette poussière. Nous consacrons un chapitre entier aux méfaits de ces allergies.

Respirer jour et nuit une atmosphère polluée par tant de contaminants , lorsqu’on est chez soi, représente un vrai problème de santé et nous devons tout mettre en œuvre pour nous en préserver.

Les lampes en cristal de sel agissent directement sur la pollution interne à notre maison en produisant des ions négatifs qui jouent le rôle de tampon entre les polluants et nous, tels des buvards absorbants.

Voyons en détail  quels  sont ces polluants domestiques.

  • Les déjections d’acariens

C’est en 1967 seulement (il y a donc peu  de  temps)  qu’une équipe de chercheurs néerlandais a découvert que le principal polluant domestique était les acariens  !

En réalité ce ne sont pas les acariens eux-mêmes qui infectent la poussière de maison mais leurs déjections.

Les débris de matières fécales des acariens, très légers, sont soulevés par l’air ambiant (on dit : aéroportés) et ils entrent dans les voies respiratoires par les muqueuses du nez, infestant également la muqueuse des yeux (provoquant des conjonctivites).

Les débris de matières fécales des acariens ont à peu près la taille des grains de pollen (1 à 2 millièmes de millimètres : dans  une pelote de pollens il  y a plusieurs  milliers  de grains).

Mais que sont ces acariens ?

Les acariens sont des animaux invisibles à l’œil nu, identifiables seulement au microscope. Leur taille est d’environ 300 microns, c’est-à-dire  0,3  mm.

Leur aspect n’est pas réjouissant. Ils ressemblent à la fois à une araignée, une puce, un pou et un scorpion.

Leur nom scientifique est révélateur : Dermatophagoides pteronyssimus, ce qui signifie littéralement« mangeur de peau». Et oui, les acariens se nourrissement des desquamations de la peau des humains, ainsi que de leurs phanères et aussi celles des animaux domestiques.

Tout est bon pour les acariens : fragments de peau, poils,  cheveux, pellicules…

Les acariens se concentrent donc dans les endroits où les fragments de peau et les poils sont les plus nombreux, c’est-à-dire la literie. Les matelas sont leur habitat privilégié, ainsi que les oreillers.

Un matelas de « 140 » (literie de couple) peut contenir 200 millions  d’acariens  de 45 espèces différentes.

Les acariens se rassemblent aussi dans les coussins de canapés et de fauteuils, dans les tapis, les descentes de lit, les moquettes, les édredons, les couettes, les peluches d’enfants…

A ce sujet, nombre d’allergies trouvent leur source dans la première enfance, à cause de l’intimité des enfants avec leurs peluches qu’ils serrent contre eux, qu’ils respirent, qu’ils mettent sur leur oreiller pour dormir contre elles… alors qu’elles sont pleines d’acariens qui se nourrissent de leurs desquamations épidermiques et de leurs cheveux.

Les acariens ont une particularité, ils sont incapables de boire et absorbent l’humidité ambiante grâce à des capteurs situés dans les articulations de leurs pattes.

Ils prolifèrent d’autant mieux que l’atmosphère est humide, ce qui est généralement le cas dans une chambre où l’on transpire, pendant la nuit. Ils aiment aussi la chaleur.

Et ce n’est pas tout. Les acariens vivent environ 3 mois pendant lesquels ils pondent, chacun, une quarantaine d’œufs ! Bref, ils prolifèrent facilement.

La prophylaxie anti-acarien consiste à :

  • Aérer longuement les chambres  chaque jours
  • Ne pas trop chauffer  les chambres
  • Protéger les matelas avec des enveloppes anti-acariens comme on en trouve aujourd’hui.
  • Supprimer les tapis
  • Supprimer les moquette
  • Supprimer les descentes de lits
  • Aspirer et nettoyer régulièrement les housses de canapés et de fauteuils
  • Laver très souvent les housses de couettes
  • Choisir des oreillers avec un rembourrage ayant reçu un traitement anti-acariens comme on en trouve aujourd’hui également.
  • Laver les peluches des enfants régulièrement.

La salive des poils de chat

    • Et… ne pas oublier d’équiper chaque chambre avec une lampe en cristal de sel qui joue un rôle de dépolluant atmosphérique.
    • Le polluant atmosphérique domestique d’origine organique le plus fréquent, après les débris de déjections d’acariens, est la salive qui recouvre les poils de chats (pour les maisons des personnes qui ont des chats, bien sûr).

On dit souvent à tort que ce sont les poils de chat qui sont polluants. Non, c’est la salive qui les recouvre, aéroportée lorsqu’elle est sèche, pénétrant dans les muqueuses du nez et des yeux.La salive du chat contient en effet une protéine allergène que les allergologues appellent Fel dl (Pelis domesticus I). Or nous avons tous observé le soin que le chat apporte à sa toilette, passant et repassant inlassablement sa langue sur sa fourrure.

Le chat enduit ses poils de salive et lorsque celle-ci est sèche les mouvements du chat la font se détacher, de minuscules molécules protéiques allergènes venant grossir le bataillon des substances qui constituent ce que l’on appelle globalement la poussière.

De plus, la salive qui imprègne les poils de chat garde son pouvoir nocif pendant plusieurs semaines.

Comme les chats perdent facilement leurs poils, ces poils s’accumulent sur les vêtements, sur les coussins des fauteuils et des canapés, sur les tapis, sur les moquettes, sur les tissus d’ameublement…Les poils de chat continuent donc pendant longtemps à être des vecteurs polluants hors de la propre fourrure des animaux dont ils sont issus.

La prophylaxie est sensiblement la même que celle qui concerne les acariens, avec une solution radicale si on est plus sensible que d’autres à la poussière (il y  a plusieurs degrés dans l’allergie)  :  ne pas avoir  de chat  dans sa maison.

Les lampes en cristal de sel seront  plus  précieuses encore dans un intérieur contenant  un chat (par rapport à un n’en contenant  pas).

Quant aux maisons qui ont plusieurs chats, et elles sont nombreuses, elles ne sauraient se passer de plusieurs lampes en cristal de sel.

  • Les autres animaux 

  • Les chiens produisent toutes sortes de particules qui se retrouvent dans la poussière des maisons : poils, desquamations de l’épiderme, molécules provenant de leur urine et de leurs matières fécales …
  • Bien que ces particules organiques ne soient pas  aussi allergisantes que celles du chat, toutes les maisons qui abritent un chien se porteront bien d’un équipement  avec des lampes en cristal de sel  à  effet dépolluant.De plus, les cages à oiseaux sont colonisées par d’innombrables acariens qui y trouvent un milieu propice à leur prolifération.
  • Les oiseaux comme les canaris ou les perruches sont de gros producteurs de poussière domestique avec les molécules qui s’échappent de leurs déjections et les fragments de leurs plumes, très volatiles.De plus, les cages à oiseaux sont colonisées par d’innombrables acariens qui y trouvent un milieu propice à leur prolifération.

Même si on prend un soin infini à tenir ces cages dans un parfait état de propreté (ce qui est absolument nécessaire) on ne peut les empêcher de nourrir la pollution ambiante.

Je ferai donc la même remarque pour les oiseaux que pour les chats ou pour les chiens : toute maison ayant une cage à oiseaux doit avoir des lampes en cristal de sel pour minimiser la pollution de l’atmosphère.

  • Les moisissures domestiques

Dans une maison, les moisissures sont une véritable plaie à cause des spores qu’elles produisent, spores constituant une fraction significative de la poussière.

En effet , ces moisissures sont des champignons (on n’y pense pas au premier abord) et de ces champignons s’échappent des spores extrêmement polluantes pour l’atmosphère car en très grand nombre.

Une simple orange abandonnée sur un meuble, en moisissant, produit jusqu’à 15 milliards de spores.

Or chaque spore est un organisme unicellulaire à part entière. Un « grain de poussière »  de plus.

Les moisissures se développent dans les lieux humides de la maison :

  • Salle de bains
  • Rideaux de douche
  • Joints d’étanchéité
  • Meubles
  • Cuisine
  • WC
  • Poubelles
  • Déchets organiques
  • Terre des bacs à fleurs
  • Déchets végétaux de ces bacs
  • Litières d’animaux
  • Tapisseries
  • Tentures murales
  • Rideaux
  • Peintures
  • Tapis
  • Moquettes
  • Bouches d’aération
  • Bouches de climatisation
  • Bibliothèque (les livres produisent des spores !)
  • La prophylaxie est toujours la même : aérer, nettoyer, aérer, nettoyer , aérer, nettoyer… et équiper toute la maison avec des lampes en cristal de sel dépolluantes.

 

  • La fumée de tabac

Cela va sans dire, la fumée de tabac est une source de pollution domestique majeure , dans les maisons où une personne fume, quand ce ne sont pas plusieurs.

Je pourrais consacrer des pages et des pages aux méfaits du tabac. Je pense que c’est inutile. Il y a un consensus général à ce sujet, fort justifié.

Je me contenterai donc de dire, compte tenu du problème posé par le tabagisme passif, que chaque fumeur, par respect pour les personnes qui l’entourent, devrait obligatoirement minimiser les conséquences de sa pollution tabagique en équipant la maison qu’il habite avec des lampes en cristal de sel dans chaque pièce.

Dans ce contexte, on peut décerner aux lampes en cristal de sel une sorte de brevet de civisme.